Sourire n’est pas seulement une façon de se rendre plus aimable aux yeux des autres. C’est aussi une façon de se rendre plus aimable à soi-même. En quelque sorte, tout se passe comme si, lorsque je me souris, j’ai envie de me sourire. Je crée un cercle vertueux.
Quand on sourit, on mobilise les muscles du visage d’une façon spécifique que le cerveau reconnaît. Il analyse ça comme un indicateur de bonne humeur. Il « croit » qu’on est content, même si ce n’est pas le cas au départ, même si l’on s’est forcé à sourire. Il ne fait pas la différence.
Or, le cerveau, c’est le corps et il traduit la bonne humeur en hormones positives. Le sourire modifie ainsi la chimie du corps, cette chimie qui est à l’origine des émotions.
Des études ont prouvé que le sourire réduit le rythme cardiaque et fait baisser le niveau de cortisol, l’hormone du stress. La prochaine fois que vous serez stressé, essayez ! La seule difficulté de la méthode est de s’en souvenir dans les situations de stress. C’est bien souvent après coup qu’on se souvient de tout ce qu’on aurait pu appliquer.
Ma trousse de secours en cas de stress ponctuel :
. Pratiquer 5 grandes respirations : on inspire le plus d’air possible pour expirer le plus longtemps possible car c’est pendant l’expiration qu’on libère les hormones de la détente.
. Sourire pour faire baisser le taux de cortisol.
Quand on sourit, on mobilise les muscles du visage d’une façon spécifique que le cerveau reconnaît. Il analyse ça comme un indicateur de bonne humeur. Il « croit » qu’on est content, même si ce n’est pas le cas au départ, même si l’on s’est forcé à sourire. Il ne fait pas la différence.
Or, le cerveau, c’est le corps et il traduit la bonne humeur en hormones positives. Le sourire modifie ainsi la chimie du corps, cette chimie qui est à l’origine des émotions.
Des études ont prouvé que le sourire réduit le rythme cardiaque et fait baisser le niveau de cortisol, l’hormone du stress. La prochaine fois que vous serez stressé, essayez ! La seule difficulté de la méthode est de s’en souvenir dans les situations de stress. C’est bien souvent après coup qu’on se souvient de tout ce qu’on aurait pu appliquer.
Ma trousse de secours en cas de stress ponctuel :
. Pratiquer 5 grandes respirations : on inspire le plus d’air possible pour expirer le plus longtemps possible car c’est pendant l’expiration qu’on libère les hormones de la détente.
. Sourire pour faire baisser le taux de cortisol.
Au prochain coup de stress, vous saurez quoi faire !